T’es rentré dans ma vie par la porte d’en arrière comme un voleur. Ce que tu as volé, c’est un bout de mon cœur pis de ma confiance. La confiance que je donne peut-être trop rapidement aux gens, car comme t’as dit, je suis une amoureuse. On a passé des heures et des jours à se parler de nos valeurs, de notre vision de la vie et des relations à deux. Je t’ai ouvert une partie de mon cœur en te confiant des choses sur ma vie et celle de mon fils. Tu es au fait de la relation avec mon ex qui peut être instable et à la place de m’encourager à croire que toute situation de «marde» se place un jour, ben tu me jugeais. Tu savais que j’avais une job exigeante et que j’élevais mon fils pratiquement seule. Je faisais mon possible pour te voir. 

Tu te rappelles la fois où j’ai fait garder mon fils et tu as dit que je ne devrais pas faire garder mon enfant pour aller voir un gars? Man! Le gars c’était toi! Tes commentaires étaient limite psycho. Les mauvaises émotions que tu me faisais ressentir me grugeaient le corps, c’est pas moi ça! 

La façon dont tu tentais de me contrôler subtilement, je te voyais venir. Quand je t’ai laissé entrer dans ma vie, je ne savais pas que j’allais avoir une invasion de bébittes. Avant d’appeler l’exterminateur, j’aurais probablement voulu continuer et à trouver des solutions, mais tu ne m’en as pas laissé la chance, puisque tu étais occupé à chercher le problème du problème. 

Maintenant, je regrette de ne pas avoir barré la porte ce soir-là. On aurait, tous les deux, pu éviter de perdre notre temps. Non seulement mes portes sont maintenant barrées, mais j’me suis abonnée à un système d’alarme. Je t’envoie le bill?

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